De gros arguments technologiques

Le smartphone pliable est une petite merveille dans l’univers du mobile. On en dit un grand bien à cause notamment de ses solides arguments technologiques.

Le premier élément qui attire et impressionne lorsqu’on voit un smartphone pliable est son écran. Il est assez grand. Mais une fois replié, son aspect change et il prend une place réduite, mis dans une poche ou dans un sac à main. Certains modèles se ferment comme un livre quand d’autres se replient tel un PC portable ou en « portefeuille ». 

Des performances exceptionnelles !

Une bonne raison d’ouvrir une agence smartphone pliable est l’efficacité de ce type d’appareil. À ce propos, les essais et tests effectués sur les produits du genre déjà disponibles sur le marché ont permis de se rendre compte que leurs performances sont exceptionnelles ! Ces gadgets sont, en effet, plus puissants que les autres fabrications de smartphones déjà connus. Sachez, par exemple, qu’un smartphone pliable est capable de faire fonctionner 3 applications simultanément, ce qui est une véritable prouesse. Notez que son affichage s’adapte selon qu’il soit plié ou déplié. Et quelle que soit la façon dont l’utilisateur s’en sert, il reste ultrafin. Il est également bon d’indiquer que la batterie est très puissante et peut alimenter deux écrans. Par ailleurs, l’écran peut être plié et déplier un grand nombre de fois sans présenter des traces d’usure.

L’écran pliable exploité dans d’autres domaines

Si vous mettez en avant la technologie d’écran pliable dans votre agence, vous pourrez l’exploiter dans d’autres domaines. C’est le cas de la fabrication de téléviseurs pliables et extensibles qui sont en train de gagner le cœur des consommateurs. Il est également possible de mettre en pratique cette technologie pour l’élaboration de montres intelligentes et souples.

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Etablir la confiance avec ses visiteurs

Il faut commencer par jeter un œil sur son site. L’objectif étant de l’organiser de manière à ce qu’il suscite l’intérêt des affilieurs, mais aussi des visiteurs. La technique est de jouer la discrétion sur son site. C’est une erreur de montrer que l’on veut avant tout écouler les produits de son fournisseur de publicités. Le plus important quand on débute est de tisser des liens avec ses visiteurs et sa communauté. Ici, il s’agit de fournir une information gratuite, des vidéos ou encore de donner des cadeaux sans contrepartie. Le but étant de mettre en confiance les internautes. Quand la confiance est établie, on peut proposer des produits de son affilieur.

Déterminer les besoins de ses visiteurs

L’avantage d’un site de niche est qu’il permet d’avoir des visiteurs bien précis, du trafic ciblé. Il faut toutefois bien exploiter ce potentiel pour pouvoir générer des revenus avec l’affiliation. Cela passe par la détermination des besoins des visiteurs. C’est en connaissant ces besoins que l’on peut mettre en place une bonne affiliation. Recommander un produit recherché par les visiteurs est plus facile pour l’affilié qui connaît les attentes des internautes.

Ne pas submerger de pub le site

Un site avec une dizaine de bannières est un nid à publicités. Il n’apporte pas toujours beaucoup de revenus contrairement aux idées reçues. L’astuce pour apporter de la valeur à l’affiliation est de mettre un minimum de bannière. Il convient de privilégier notamment les affiliations avec des conseils ou pouvant apporter des bénéfices aux visiteurs. Il est donc inutile de s’inscrire à de nombreux programmes d’affiliation. Cela n’a aucun impact sur les revenus générés.

Choisir un produit adapté à son contenu

Les visiteurs viennent sur un site, car ils recherchent un contenu précis. Ce trafic peut être une bonne référence dans le choix du produit à intégrer dans une bannière du portail. Dans un blog spécialisé dans l’Espagne, par exemple, il n’est pas judicieux d’installer une publicité sur les tablettes numériques. Il faut se rappeler que les gens viennent pour s’informer sur l’Espagne. Il est donc indispensable d’y proposer un produit en rapport avec ce pays. Un livre de recettes espagnoles, un guide photo de l’Espagne sont autant d’idées pour valoriser son site et attirer les visiteurs ciblés. Une bannière d’affiliation proposant des offres de voyages en Espagne ne sera pas mal vue étant donné qu’elle est compatible avec le contenu.

Tester et évaluer le produit

En recourant à l’affiliation, on conseille à ses visiteurs d’acheter un produit. Avant de recommander ce dernier, il est toutefois plus prudent de tester sur soi-même l’efficacité du produit. En effet, c’est en évaluant l’article ou le service à vendre que l’on a une idée de sa qualité. On peut, en outre, expliquer à ses visiteurs les avantages du produit, ainsi que ses défauts. Il faut donc toujours garantir la fiabilité des informations que l’on donne à ses prospects pour mieux vendre son affiliation.

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Les commissions de l’affiliation

Une commission est une rémunération que perçoit les éditeurs de site du programme d’affiliation d’un annonceur. Il existe différents modes de commissions.
Il y a la commission à la vente, qu’un éditeur perçoit lorsqu’un visiteur d’un site d’annonceur règle un paiement. Le montant de cette rémunération est soit fixe ou variable. Ici, la visite a donc apporté ou des prospects (CPL) ou des acheteurs (CPA) au site.

La deuxième forme de commission est la commission au clic. Un clic sur le lien d’un annonceur correspond à une visite. L’éditeur reçoit alors une commission grâce à ces visiteurs.
Le double-clic permet aussi de recevoir une commission. Ce mode de rémunération est possible à condition qu’un visiteur clique sur un lien du site de l’éditeur ainsi qu’un second. L’internaute ici est un visiteur qualifié, qui s’intéresse aux produits ou services de l’affilieur.

Dans la rémunération à l’affichage, l’éditeur perçoit une commission pour l’affichage de visuels d’un annonceur. Ce type de service permet à l’annonceur ou l’affilieur d’avoir une bonne visibilité sur le site de l’éditeur.

Il existe également la commission au formulaire. Ici, le remplissage d’un formulaire de l’annonceur par un visiteur du site de l’éditeur donne lieu à une rémunération de ce dernier.
Un programme d’affiliation peut contenir un ou plusieurs de ces modes de rémunération.

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Facebook est la référence mondiale

Clairement, le réseau social Facebook est la référence en la matière. Sauf pour quelques activités (B-to-B, industriel, etc…), il s’agit d’une plateforme idéale pour asseoir sa réputation en ligne et améliorer son taux de conversion. Récemment, nous avions réalisé un dossier vous expliquant comment vendre son site internet, et à présent, il nous semblait indispensable de mieux comprendre comment l’achat de likes était une clé de réussite. Avec plus d’1 milliard de membres actifs par jour, Facebook est un vivier dont il serait dommage de se passer.

Acheter des fans et des likes sur Facebook

Véritable indicateur de confiance, le nombre de fans est un levier extraordinaire pour lancer puis développer ses pages sur les réseaux sociaux dont Facebook. Sachez en premier lieu qu’il est possible d’acheter des vrais fans Facebook ici en seulement quelques clics et de façon totalement sécurisée (le nombre de fans est parfaitement livré, tout comme la qualité de ceux-ci).

Il suffit de passer commande sur le site cité plus haut, mais évaluez au préalable le nombre de fans nécessaires. En effet, si sur votre niche marketing, vous êtes seul ou si vos concurrents sont en retard dans le cadre de leur stratégie 2.0, évitez d’acheter 25 000 fans d’un coup. Tout cela doit sembler naturel aux yeux de Google pour optimiser votre référencement web.

Nous vous recommandons de débuter par 5 000 fans et quelques milliers de likes avant de passer à la vitesse supérieure. Les Likes Facebook permettent de viraliser le contenu et de le rendre populaire sans passer par les onéreuses campagnes publicitaires du réseau social de Mark Zuckerberg.

Quid des autres réseaux sociaux?

Au-delà de Facebook, et toujours selon votre niche marketing, n’oubliez pas LE réseau social qui cartonne actuellement, à savoir Instagram. En effet, il est possible d’acheter des likes instagram français aussi facilement qu’avec Facebook ou Twitter. Grâce au pouvoir de l’image, votre réputation en ligne pourrait être décuplée en quelques clichés.

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D’ailleurs de nombreux exemples montrent que la vente d’un site peut rapporter gros, car certaines sociétés sont prêtes à mettre beaucoup d’argent pour se le procurer. Si cela laisse rêver les webmasters et autres gestionnaires de sites. Cependant, tout n’est pas si simple et avant de pouvoir vendre son site internet et de trouver un potentiel acheteur, il va falloir déterminer la valeur de ce site. C’est là que les choses se compliquent. Plusieurs éléments peuvent être pris en compte pour estimer la valeur d’un site, mais le potentiel du site va également jouer tout comme les propositions faites par les acheteurs.

Le chiffre d’affaires comme ordre d’idée

Lorsqu’une entreprise décide de racheter une autre entreprise, elle va se baser sur différents critères pour évaluer la valeur. Parmi eux, il y aura forcément le chiffre d’affaires dégagé par l’entreprise en vente. En effet, le chiffre d’affaires donne un aperçu de l’état de santé de la société, mais également de son potentiel. Bien sûr, cela ne veut pas tout dire, car une entreprise peut très bien dégager un fort chiffre d’affaires et tout de même être en déficit, c’est-à-dire avoir plus de pertes que de rentrées d’argent. Malgré tout, dans la plupart des cas, une entreprise capable de dégager un fort chiffre d’affaires est une valeur sûre.

Pour déterminer la valeur d’un site internet, on peut donc dans un premier temps se baser sur le chiffre d’affaires. En général, on prend le chiffre d’affaires mensuel que l’on multiplie par 12pour avoir une valeur annuelle. Ce chiffre va servir de base à l’évaluation du site internet.

Le potentiel du site internet

Une entreprise ou une personne qui souhaite acheter un site internet ne va pas uniquement se baser sur le chiffre d’affaires, à part s’il s’agit d’un petit site sans grande influence. En effet, pour déterminer la valeur d’un site internet on doit prendre en compte d’autres critères.

L’objectif étant d’avoir un aperçu du potentiel du site internet, car ce qui intéresse l’acheteur c’est avant tout de se faire de l’argent avec ce site et donc de continuer à le développer pour percevoir toujours plus de revenus grâce à ce site. Un site internet avec un fort potentiel de croissance et de revenus va donc avoir une valeur supérieure. Le potentiel d’un site internet va être déterminé en fonction de différents critères.

Parmi les plus importants, on retrouve donc le chiffre d’affaires. De même, la thématique du site et la concurrence sur ce même secteur, c’est-à-dire la capacité du marché, ont également leur importance. Tout comme l’affluence du site, soit le nombre de visites par jour. Il est également important de prendre en compte le design du site, son contenu, et son référencement sur Google. De même, si le site possède une base de données des internautes inscrits dessus, cela va jouer dans la détermination de sa valeur. D’autres critères comme le nom de domaine, l’ancienneté du site ou les charges qui découleront de l’achat sont aussi importants. Bien sûr, le type de monétisation du site, c’est-à-dire, ce qui permet au gestionnaire de percevoir des revenus grâce à ce site, est une donnée qui va peser dans la valeur.

Tous ces critères vont pouvoir fournir un aperçu assez précis du potentiel du site internet. Néanmoins, il reste une part d’estimation afin de définir les perspectives futures du site internet, mais qui vont prendre en compte tous ces critères.

Le cas des e-commerces

Un e-commerce est un site internet particulier. En effet, les revenus d’un e-shop sont principalement basés sur le nombre de ventes effectuées, ce qui diffère des stratégies de monétisation habituelles pour un site internet qui très souvent va se rémunérer grâce à la publicité ou en fonction du nombre de visiteurs.

Le calcul de la valeur d’un e-commerce va donc plus se rapprocher de celle d’un commerce classique tout en prenant en compte les critères évoqués ci-dessus. Cela signifie qu’il va falloir déterminer la valeur du fonds de commerce du site internet. Ce fonds de commerce regroupe non seulement les biens matériels et les marchandises, mais également des éléments incorporels comme la clientèle, les licences et droits de propriété et le nom du site. Cependant, parmi tous ces éléments, c’est réellement la clientèle qui va compter le plus dans le calcul du fonds de commerce.

Où vendre son site internet

Une fois que l’on a déterminé la valeur de son site internet ou de son e-commerce, il va falloir indiquer que l’on désire le vendre. Dans de nombreux cas, ce sont en fait les acheteurs qui font une offre d’achat alors même que le site n’est pas forcément en vente. Certaines grosses entreprises sont prêtes à proposer des millions, voire des centaines de millions d’euros pour un site dont elles jugent le potentiel très élevé. Dans ce cas, difficile pour le webmaster de refuser.

Cependant, lorsque c’est le gestionnaire qui désire vendre sont site sans qu’il n’ait préalablement reçu des offres, il va falloir qu’il mettre une annonce. Pour cela il existe des sites internet spécifiques sur lesquels il est possible de mettre son site en vente. Les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter sont aussi de bons moyens pour annoncer sa vente.

Au final, vendre un site internet va surtout dépendre de la valeur de celui-ci, qui va elle-même être définie selon des critères dont l’importance va être évaluée de façon différente en fonction des acheteurs.

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Avoir un site de qualité ne suffit pas

Après avoir passé des heures à travailler le design de votre site ou à avoir cherché le Template qui fera la différence, il faut procéder à 2 étapes particulièrement importantes pour convertir les futurs visiteurs.

Des contenus intéressants

Il faut en premier lieu réaliser des contenus pour intéresser l’acheteur. Pour cela, il vous faudra identifier les sujets qui l’intéresse et rédiger (ou faire rédiger) les contenus liés. A ce jour, les dossiers, les articles de classement (Top3, Top 5, les 10 commandements, etc…) ou encore les infographies sont les contenus sont les internautes raffolent donc il ne faut pas s’en priver.

Une fois que le volume de mots nécessaire est atteint, il s’agira alors de le mettre en ligne en prenant soin de bien mettre en avant les atouts de chaque article, tout comme vos CTA (Call To Action).

Le Graal : Un référencement très qualifié

Vous voilà avec un site ergonomique et esthétique, et, des contenus qui apportent une réelle valeur ajoutée. A présent, il ne faut pas que votre site reste dans une rue sombre, mais bien qu’il soit sur un boulevard très passant. Autrement dit, il faut que des visiteurs qualifiés viennent pour que vos liens d’affiliation soient cliqués et que vos revenus grimpent en flèche.

Pour cela, il faut travailler son référencement naturel qui n’est autre que l’apanage des SEO ou encore de certains experts comme cette agence qui propose des devis sans engagement. Un audit et une étude de vos mots-clés phares seront réalisés. Grâce à cette étape, un travail de fond sera réalisé (création de nouveaux contenus, création de liens, etc…) pour que votre cœur de cible vienne sur votre site et puisse être intéressé par vos liens d’affiliation.

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Voici notre dossier pour vous aider dans vos démarches !

Vous exercez cette activité à titre individuel, en tant que particulier ?

Il est tout à fait autorisé de gagner des revenus grâce à l’affiliation en tant que particulier. Toutefois, certaines règles sont à respecter vis à vis des impôts et de vos déclarations sur les revenus.
En cas de revenus complémentaires à une activité principale, ou de faibles revenus, s’ils ne sont pas réguliers, il est possible de déclarer vos revenus en tant que Bénéfices Non Commerciaux. Voici un lien qui pourra vous aider : http://www.impots.gouv.fr/portal/dgi/public/particuliers.impot….
Bien évidemment, vous devrez vous enregistrer la première année où vous gagnerez de l’argent. N’hésitez pas à contacter votre centre des impôts qui pourra vous renseigner de manière plus individuelle.

Si par contre il s’agit de vos revenus principaux, réguliers, il semble judicieux de choisir un statut et de vous inscrire à l’urssaf. Voici les différents statuts envisageables . Il y a différentes méthodes qui s’ouvrent à l’affilié pour déclarer ses revenus :

Statut d’auto-entrepreneur :

Ce statut est sans conteste le plus simple et le plus avantageux. En effet, il est ouvert à tous et même aux salariés en recherche de compléments de revenus. Son principal avantage réside dans le principe que vous ne payez des charges que si vous déclarez des revenus… Sinon, vous n’avez rien à régler.
Ce statut est très simple à acquérir. (Il suffit de remplir un formulaire en ligne : https://www.cfe.urssaf.fr/autoentrepreneur/CFE_Bienvenue ) mais est soumis à un chiffre d’affaires maximal de 32.600 euros pour une activité de prestations de services ou 80.300 euros pour une activité d’achat/revente. Le prélèvement unique sur le chiffre d’affaires sera de 13, 20,5 ou 23 % selon la nature de l’activité (dans l’ordre, commerciale, libérale ou de services).
Les avantages sont nombreux puisqu’un auto-entrepreneur ne doit pas se déclarer au RCS (Registre du Commerce et des Sociétés ), ni régler de TVA ou de taxe professionnelle. L’activité peut cesser sans formalité et valide des trimestres de retraite… Attention toutefois, depuis le début d’année 2012, même en cas de chiffre d’affaires vierge pour une période (un mois ou un trimestre selon votre choix), il faudra faire une déclaration afin de ne pas perdre le statut !

Travailleur indépendant (entreprise individuelle) :

Le travailleur indépendant, ou freelance, a le choix entre plusieurs statuts : l’entreprise individuelle (pas d’apport de capital ou de frais de structure, très souple, mais les biens personnels sont engagés…), l’EURL (entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée, avec un capital d’au moins 1 euro, une immatriculation, des statuts déposés et des comptes à publier. Avantage majeur, la responsabilité financière est égale au montant du capital), la SARL (société à responsabilité limitée, au moins deux personnes qui investissent, responsabilité financière là-aussi égale au montant du capital et mêmes démarches), l’EIRL (entreprise individuelle à responsabilité limitée avec comme principale avantage par rapport à l’EURL que seuls les biens nécessaires à l’activité pourront être saisis et non les biens personnels. Cependant, le dépôt annuel des comptes est obligatoire, tout comme la liste des biens professionnels…)
Dans ce cas, le régime de micro-entreprise est possible mais concerne uniquement les entreprises ne comptant qu’une seule personne dont le chiffre d’affaires est inférieur à 27.000 euros.

Portage salarial

Le portage salarial est un concept permettant aux professionnels de se lancer en indépendants sans créer d’entreprise. En effet, ils pourront réaliser leur mission en toute autonomie auprès de leurs clients et facturer leurs honoraires à travers une société de portage salarial comme, par exemple, Webportage, spécialisée dans les métiers du web.
L’inconvénient principal est que ces sociétés de portage salarial prennent environ 50 % du chiffre d’affaires généré. Toutefois elles gèrent également les cotisations et les impôts. Il faut savoir que la commission « pure » de ces sociétés avoisine plutôt les 8-10 % afin de gérer l’administratif, le comptable, et les cotisations.
Cette solution n’est réellement valable que dans le cas de projets temporaires. Autre avantage de ce statut, il est possible d’avoir une mutuelle et la société peut également gérer votre facturation. C’est important à noter puisqu’un particulier ne peut déclarer des revenus non commerciaux qu’une seule fois avant d’opter pour un statut professionnel.

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Voici quelques éléments pour vous aider en ce sens.

Faire vivre la page pour la crédibiliser

Au-delà de l’ajout de la photo de profil puis de celle de couverture et les quelques lignes vous décrivant, les efforts réels seront relatifs au fait de faire vivre la page. Comme pour un site web, il faut créer du contenu pour drainer une audience de qualité et ainsi maximiser ses gains. Pour la faire vivre, il va donc falloir acquérir des fans.

A ce titre, il vous faudra devenir la référence en un domaine précis grâce à une veille de base. Via celle-ci, vous allez identifier les sujets chauds du moment et les vidéos ou articles à ne pas manquer. Ceux-ci peuvent avoir été rédigé par vous-même sur l’espace blog de votre site OU avoir été rédigé par des experts du secteur.

L’idée est de créer un écosystème au sein duquel le membre d’un réseau social va vous identifier comme un curateur de qualité pour suivre l’actualité d’une niche donnée. Ainsi, si vous avez un site sur le voyage, n’hésitez pas à rédiger des contenus que vous reprendrez (via un lien) sur votre page J’aime ou à faire pointer des liens vers des sites clés.

Les autres Pages sont des leviers

Pour vous permettre d’accroitre votre base, il est recommandé de rédiger du contenu, et, de prendre contact avec d’autres pages J’aime qui officient dans le même secteur que vous. En tant qu’administrateur d’une page J’aime vous pouvez aimer d’autres Pages qui vous renverront la politesse. N’hésitez pas à envoyer un message l’administrateur d’une page pour prendre contact.
Ensuite, déposez des liens « propres » sur d’autres pages ou dans des commentaires pour montrer que votre page J’aime existe. Ainsi, vous pourriez rapidement acquérir des fans qualifiés. N’oubliez pas qu’il est important de franchir le cap des 100 fans pour accèder aux statistiques et pour changer de nom.

Des services d’échange de likes existent pour vous aider (Like Baguette, Like Plus, etc…). Le principal est d’échanger des likes avec des pages qui sont dans le même écosystème que vous. Si vous proposez un site de voyage, n’allez pas échanger des likes avec la page d’une société industrielle ou une marque de vaisselle. Plus les échanges seront qualitatifs, plus la base saine et donc intéressée par votre contenu.

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Le fonctionnement de l’e-mailing

L’e-mailing est aussi simple que particulier. L’objectif principal consiste à acquérir de nouveaux clients et de fidéliser les clients actuels. Concrètement, des e-mails truffés de liens d’affiliation sont envoyés pour maximiser les ventes, les clics et les inscriptions.
A chaque action d’un internaute, à savoir d’un membre de sa base de données e-mail, l’affilié touche de l’argent selon le programme souscrit. Il s’agit d’un moyen simple et rapide de toucher un grand nombre de prospects et de clients. Notons également que les avantages sont nombreux puisque le coût est faible (bien moins onéreux qu’un envoi papier) et qu’il est possible de tracer chaque clic (pour affiner ses statistiques).

Outil clé : la base de mails

Clairement, pour maximiser ses performances d’affiliation, il est nécessaire de disposer d’une base de données qualifiée et pertinente. Ces e-mails peuvent être achetés, loués ou compiler sur son propre site dans la rubrique « Inscrivez-vous à notre newsletter » par exemple.
N’oublions pas qu’il est indispensable que les e-mails soient opt-in, c’est-à-dire que les destinataires aient accepté explicitement de recevoir des e-mails à caractère commercial. Cette règle a été définie par la CNIL et doit être absolument respectée.

E-mailing et affiliation

Pour faciliter la vie des webmasters, les annonceurs proposent des kits e-mailing déjà prêts à l’usage. Ainsi, les diffuseurs n’ont aucun coût de création et il leur suffit de paramétrer leur e-mail type avec le kit envoyé pour maximiser leur taux de transformation.
Il est conseillé de ne pas trop « user » sa base de données en envoyant environ 2 e-mails par mois. Si vous en envoyez plus, votre base va se réduire car les membres souhaiteront se désabonner.

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Un choix pondéré et calculer

A partir du moment où vous avez un site avec une certaine audience, il est clairement dommage de ne pas chercher à monétiser celle-ci. Même s’il ne faut pas chercher à la monétiser à outrance, il faut trouver les bons leviers pour maximiser son taux de transformation. A ce titre, afin de trouver les bons annonceurs, il est indispensable de prendre son temps et de connaitre son marché (ses acteurs principaux, ses influenceurs, etc…).

Quelles campagnes d’affiliation pour mon site web ?

Chaque plateforme est spécialisée dans un domaine (sauf les plateformes multiprogrammes) et il est indispensable de trouver une adéquation entre votre audience et vos annonceurs. Analysez les contrats dont disposent les plateformes pour si les annonceurs cités ont un intérêt à être présent sur votre site web (et vice versa). De plus, analysez les programmes d’affiliations proposés. En effet, les rémunérations peuvent différer d’une plateforme à une autre. Aussi, selon votre contenu, il sera préférable d’opter pour du CPC ou du Lead. En règle générale, plus le site est pertinent en terme de contenu, plus il est préférable d’opter pour des mécaniques performantes comme le CPA ou le lead. N’hésitez pas à surveiller ce que vos concurrents font, vous pourriez ainsi rapidement identifier les annonceurs à contacter.

Quid du paiement de vos revenus ?

Autre point clé : le paiement de vos revenus publicitaires grâce à l’affiliation. Selon les plateformes, les modes de paiement peuvent différer. Seulement, à ce jour, il existe un grand nombre de moyens de paiement (chèque, virement, PayPal, skrill, etc….). Il est parfois difficile de disposer d’un compte chez chaque établissement. A ce titre, veillez à surveiller les seuils de paiement, sans quoi vous ne verrez jamais la couleur de votre argent si celui-ci est à 100 ou 200 euros et que votre site ne fonctionne pas. En règle générale, les seuils oscillent entre 20 et 100 euros.

L’inscription à un programme d’affiliation est-elle gratuite ? : Enfin, n’oublions pas que chaque inscription à une plateforme d’affiliation et à un programme d’affiliation sont entièrement gratuits. Jamais aucun euro ne vous sera demandé pour cela puisque e principe de base est gagnant-gagnant (publicité contre rémunération à la performance).

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